Dans La Presse, ce matin. Les nouvelles mesures pour vérifier les appareils électroniques. On en profite pour dire rapporter une connerie grosse comme le bras. Soit que Saint-Hubert n'offre pas de vols commerciaux, étant limité uniquement à des vols privés. Ce n'est pas anodin. Ça fait partie des dénigrements qui portent atteinte aux compagnies qui y oeuvrent. Comme Pascan, dans les vols cédulés ou nolisé, ou Cargair dans le nolisé.
Pascan offre tous les jours des vols vers des destinations du Québec. Offrant la simplicité d'embarquement d'un aéroport qui , n'ayant pas de connection internationale, n'est pas tenu aux mesures de sécurité dont on accable à Dorval ou autres. On y arrive pour son vol 20 minutes, stationnement gratuit juste en face, on rentre, prend un café ou une bouteille d'eau qu'on ne nous saisira pas lors de l'embarquement, et voilà, on est parti sans s'être fait scanné et fouillé.
Mais d'un coup de plume d'une journaliste qui n'a pas fait son devoir de vérifier son info, on renforce l'idée qu'il n'existe pas d'alternative à se faire fouiller de fond en comble après avoir payé un stationnement à mille lieux et avoir perdu deux heures à arriver d'avance pour passer les contrôles de sécurité invasive d'un aéroport international.
Devenant l'instrument marketing Fake News des compétiteurs de Pascan.
Louis
Un aéroport comme celui de Saint-Hubert est donc exclu, puisqu'il n'y a pas de vols commerciaux, mais exclusivement des vols privés.